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«Le coup de foudre, ça existe!»

Trouver l’amour, le vrai, pas facile! Comment mettre toutes les chances de son côté et faire une rencontre malgré la situation? Le point avec Géraldyne Prévot-Gigant, spécialiste de la question.



Le prince charmant n’existe pas, on commençait à s’en douter, et la Reine des neiges l’a confirmé. Mais l’amour sincère et authentique, oui. Alors pourquoi certaines personnes tirent-elles toujours le mauvais numéro, et d’autres restent-elles célibataires pendant des années? Y a-t-il une façon efficace de se préparer à rencontrer l’amour?

Le point avec Géraldyne Prévot- Gigant, psychopraticienne spécialiste de la relation amoureuse, auteure de nombreux livres dont La force de la rencontre et Le grand amour. Ecoutons cet ancien enfant zèbre (joli nom pour les hauts potentiels) devenu une psychologue positive, volubile et pétillante.


Quel est votre premier conseil à qui souhaite rencontrer quelqu’un?

De se connaître soi-même, c’est vraiment la base. Il y a une question de compatibilité. On a des centres d’intérêts, des tendances, des affinités, mais on est dans un type de société qui fonctionne beaucoup sur l’extérieur. Du coup, sauf s’il y a une sensibilité, une éducation, c’est rare que les gens s’interrogent sur eux-mêmes pour ensuite se tourner vers l’extérieur. On s’oublie, nous.


Faut-il faire une thérapie pour bien se connaître?

On ne va pas aussi loin tout seul. On peut y arriver selon la qualité de nos lectures, sur le développement personnel, la philosophie, la psychologie, les sciences humaines, qui vont nous amener à nous poser des questions. Ça, c’est déjà super. Mais être accompagné permet de gagner du temps.


Et quelles sont les questions à se poser?

Quelle est notre histoire? Quel est le modèle amoureux de nos parents? Ça va laisser une trace très profonde en nous. Nos croyances en l’amour vont émerger là – en tout cas les premières. Quelles ont été nos coupures de lien, nos abandons, nos deuils durant l’enfance et l’adolescence? Tout ce qui concerne les attachements affectifs peut orienter et rendre la rencontre difficile. Et le non-amour de soi. Si je ne m’aime pas, comment puis-je imaginer que quelqu’un puisse m’aimer?


Sur ces questions-là, y a-t-il une différence entre les hommes et les femmes? (...)



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